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La situation sanitaire interroge et chamboule de nouveau les organisations familiales. Est-ce que la pandémie transforme les modalités de la garde alternée? Eléments de réponse avec Nathalie Rivière, avocate du droit des familles.
© LP/Matthieu de Martignac/Maxppp
Une maman en panique. Par un texto de la CPAM, elle découvre qu’elle est cas contact. Cette semaine-là, ses deux enfants de 14 et 10 ans sont en garde chez leur père. Le premier est asthmatique. Pour elle, de toute évidence, les enfants doivent rester chez leur père la semaine suivante pour éviter toute contamination potentielle en attendant les résultats. Le père refuse. Que dit le droit ? La garde alternée peut-elle être modifiée ou s’applique-t-elle malgré la situation sanitaire?
La réponse est celle du bon sens. Celui de protéger les enfants. Et de s’arranger entre parents car cela peut mettre inutilement en danger les enfants, leur santé , leur scolarité et leur équilibre. Modifier par exemple le rythme de la garde à l’amiable le temps du confinement et des contaminations éventuelles. Mais dans les faits, cela ne se passe pas forcément comme ça. Un certicat médical peut faire autorité. Mais la loi n’a pas prévu ces questions sanitaires qui nous prennent collectivement de cours. On peut arguer que l’intérêt supérieur de l’enfant passe au dessus mais l’intérêt supérieur n’est pas clairement défini. Il y a un vide juridique sur ces questions qui sont des questions nouvelles.
“Dès le début du confinement, les mauvais comportements ont surgi” explique Me Nathalie Rivière, avocate spécialisée en droit de la famille, “c’est un peu comme si le droit était suspendu”.
Autre cas de figure: que se passe-t-il si les enfants sont contaminés chez un de leurs parents, doivent-ils tout de même se rendre chez le parent sain au risque de le contaminer et que la chaîne de contamination ne soit pas brisée?
Là encore, nous ne disposons pas d’outils juridiques adaptés pour l’instant. Et les juges aux Affaires Familiales sont débordés. Aujourd’hui, on a un délai d’un an quand on les saisit. Mais à la différence du premier confinement, l’institution judiciaire n’est pas close, on peut aller plaider et ça change des choses, les conflits en cours trouvent au moins une issue devant un tribunal, ça libère les gens d’une certaine façon.
Que retenez-vous de ce premier confinement?
La blessure de l’enfant. Certains enfants ont énormément morflé pendant le premier confinement. Certains parents se battaient pour ne surtout pas les avoir en garde. Tous les milieux sociaux ont été concernés et cela touchaient principalement les adolescents. Comme si les gens rencontraient du jour au lendemain leurs propres enfants et qu’ils les rejettaient. Les dégâts psychologiques sont importants. Le maintien de l’école change la donne dans ce deuxième confinement. D’ailleurs, j’ai rencontré beaucoup de parents qui ont modifié leur regard sur les enseignants car ils se sont rendus compte que ce que leur disait l’enseignant à propos de leur enfant était réél, comme les problèmes d’attention et de concentration. Le confinement leur a permis de prendre la mesure de problématiques qu’ils niaient, certains cherchent depuis des solutions auprès de professionnels, grâce à cette expérience du premier confinement.
Il y a eu aussi ceux qui n’ont pas pu voir l’autre parent pendant des mois parce que l’un d’entre eux, le plus souvent la mère, refusait d’appliquer la garde pendant le confinemen t et ne présentait pas l’enfant. Avec toute la tension qui en découle. Le lien a été rompu et la reprise des contacts compliquée.
Et puis, le plus terrible à mon sens, ça a été le sort des enfants placés, ceux qui ne voyaient leurs parents que le week-end et/ou dans un espace médiatisé. Tout a été suspendu et a mis beaucoup de temps à se remettre en place. Une mère par exemple n’a pu voir ses enfants pendant 8 mois. 8 mois, c’est très très long. Et pour ces enfants, ça a été compliqué car ils n’avaient pas d’échéance de fin pour cette séquence de privation du ou des parents.
Mon Mari Veut Divorcer, Pas Moi : Que Faire ?
Il veut divorcer, pas moi
Je reçois fréquemment des demandes de conseils sentimentaux de mamans en couple qui sont bouleversées après l’annonce par leur mari de son désir de divorcer.
C’est une situation très perturbante et très stressante car elle nous déstabilise. Divorcer fait peur surtout quand cette décision est subie.
C’est encore plus inquiétant quand on a des enfants ensemble.
Tout d’un coup, notre équilibre, notre style de vie, notre couple, notre monde, notre univers sont remis en question.
La veille, nous nous sentions à l’abri et sécurisées dans notre couple, dans notre quotidien, dans nos habitudes et dans un futur commun. Le lendemain de l’annonce, tout s’écroule.
Tout ce qui nous semblait acquis ne l’est plus.
Pour certaines, c’est l’incrédulité, c’est l’incompréhension totale.
C’est la panique et de multiples questions assaillent l’esprit :
A-t-il rencontré quelqu’un ? Est-ce qu’il me trompe ?
Pourquoi , ça m’arrive à moi ? Qu’est-ce qui nous arrive ? Qu’est-ce qui s’est passé ?
Que vais-je devenir ? Que va-t-on devenir ? Que vont devenir les enfants ?
Comment vont réagir les enfants ? La famille ? Les amis ?
Comment je vais me débrouiller seule avec les enfants ?
Comment le faire changer d’avis ?
Et dans la panique, le réflexe est de vouloir se rassurer, de trouver une solution au rapide. L’envie est forte de demander à son partenaire le pourquoi, d’insister voire de supplier pour sauver le couple, de demander à consulter ensemble un spécialiste du couple, un thérapeute, un sexologue, un coach pour sauver son couple, ou un médiateur .
Face à la peur de perdre ce qu’on a et de faire face à un avenir inconnu et terrifiant, demander à son mari d’être raisonnable, de penser à tout ce qui a été construit ensemble, de penser à l’intérêt des enfants est le comportement qu’on a tendance à adopter.
Mais est-ce vraiment la bonne méthode ? Il faut savoir qu’une décision de divorce est rarement soudaine mais est le fruit d’une réflexion qui a duré des mois voire des années.
Que faire pour empêcher mon mari de divorcer ?
C’est une période de votre vie très difficile à vivre car les émotions fortes risquent de vous envahir et de guider maladroitement ou de manière inappropriées vos attitudes et réactions.
Agir impulsivement sous la peur, la colère, la tristesse devant son compagnon n’est pas la solution.
C’est aussi le moment de poser les actions qui vous aideront à ne pas céder à la déprime. Occupez-vous de vous. Faites des exercices de respiration, relaxez-vous, prenez soin de vous et de votre corps pour désamorcer les effets négatifs du choix de rupture officielle de votre mari. N’hésitez pas à faire du sport.
Entourez-vous de gens positifs, de personnes bienveillantes qui vous rappellent la personne formidable que vous êtes. C’est important de se sentir aimée, appréciée, valorisée quand on se sent rejetée par son mari.
Ce n’est pas le moment de vous laisser aller, de laisser exploser votre frustration, votre colère auprès de votre mari ou vos enfants mais celui de penser à vous avec bienveillance. Cela vous ressourcera et vous aidera à mieux affronter cette décision de partir.
Garder la tête froide vous sera utile pour comprendre la ou les raisons de cette prise de décision.
Les raisons de sa demande de divorce
La première chose à faire est de comprendre les raisons de cette décision de se séparer définitivement.
Vous êtes en couple depuis des années, vous connaissez bien votre mari. Enquêtez, réfléchissez pour savoir quelle est la cause profonde du séisme causé par sa volonté de rompre.
S’il est honnête, il pourra vous expliquer la raison de ce divorcer. Mais attention car même s’il donne sa vision, sa raison, il n’est pas sûr qu’il ait lui même conscience de la véritable raison de ce divorce.
Par exemple, il pourrait croire qu’il ne vous aime plus alors que la raison est l’ennui qu’il ressent auprès de vous.
C’est pourquoi vous devez écouter votre intuition et prendre du recul pour identifier la ou les causes de cette demande de divorce :
La routine
Avec les années, votre couple s’est enlisé dans les habitudes, le train train quotidien. Il n’y a plus de surprise, de spontanéité, d’inattendu. Les jours se suivent et se ressemblent. Le mariage procure un sentiment de sécurité vis-à-vis de son partenaire, on a tendance à le considérer comme acquis et donc on fait moins d’efforts pour le séduire. Et c’est réciproque. Alors le couple meurt petit à petit. L’arrivée d’un ou plusieurs enfants a pu empirer les choses en ne laissant plus aucune place à des moments d’intimité ou d’évasion à deux. Est-ce votre cas ? Que pouvez-vous faire pour sortir de cette routine. Si vous êtes parents, n’oubliez jamais que vous êtes une femme et un homme et que vous devez cultivez le couple en dehors des rendez-vous et rituels familiaux.
La dépendance affective
Quand vous vous êtes rencontrés, c’était des moments très heureux ensemble. Vous étiez deux adultes indépendants et autonomes qui étaient encore plus épanouis ensemble. Puis petit à petit, cet équilibre s’est détruit. Vous avez commencé à donner plus à votre mari qu’il ne vous donne. Vous avez commencé à mettre ses besoins, ses désirs, ses projets devant les siens. Vous vous êtes effacée devant lui. Vous avez “atténué” votre personnalité pour lui plaire davantage, pour correspondre à ses attentes. C’est insidieux mais progressif. Au fil du temps, vous êtes devenue de plus en plus dépendante de lui. Vous vivez peut-être à travers lui. Vous avez mis son bonheur au dessus du votre. Votre bonheur dépend du sens et sans lui, vous ne vous sentez pas bien.
Une grande insatisfaction sexuelle ou pas de vie sexuelle du tout
Le sexe est un baromètre du couple. Les moments sous la couette sont les moments d’exprimer votre complicité, vos désirs, vos fantasmes. Des besoins différents conduisent inévitablement à une prise de distance dans le couple, à de la rancoeur ou de la frustration. “Avez-vous toujours du désir envers votre mari ?” ,”Vous sentez-vous désirable à ses yeux ?” sont des questions importantes à se poser.
Une ou plusieurs infidélités
Vous l’avez trompé et il n’arrive pas à pardonner et aller de l’avant avec vous. Vous devez faire preuve d’empathie et de patience.
Une mauvaise communication
Il s’agit d’une communication conflictuelle et épuisante. Ou carrément une communication inexistante. La communication a-t-elle toujours été un point faible dans votre couple ? Ou s’est-elle dégradée au fil des années ? La rétablir va devenir une priorité mais il va falloir comprendre pourquoi elle a changé si au début de la relation vous aviez une communication de qualité.
Des projets de vie différents
L’amour ne suffit pas. Il vous aime peut-être mais il a un projet que vous ne partagez pas. Par exemple, il veut absolument un enfant et pas vous. Il veut s’expatrier en Afrique et pas vous. Il veut changer complètement de vie et vous ne le suivez pas.
Des évolutions différentes
On se rencontre dans la vingtaine, jeunes. On s’aime, on se marie. Puis 10 ou 15 ans plus tard, on évolue différemment. Les personnalités ne sont plus les mêmes, les valeurs ont changé et une vie commune ensemble est de plus en plus difficile.
Des problèmes d’argent
Des soucis financiers finissent par peser sur le quotidien du couple. Dans ce cas, que pouvez-vous faire pour améliorer la situation ?
Il a rencontré quelqu’un d’autre
Il sort avec une autre femme et est très heureux avec elle au point d’envisager de vous quitter pour elle. Attention, c’est une situation très dure à vivre mais demandez-vous avant tout si vous êtes prête à lui pardonner et vouloir le reconquérir. Ou si pour vous le divorce est justifié.
Si vous avez des doutes sur sa fidélité, je vous invite à cliquer ici pour savoir s’il vous trompe.
La belle-famille est pesante et source de tensions
C’est difficile de rester un couple épanoui si la belle famille se mêle systématiquement de votre vie, si elle est envahissante, si elle ne respecte pas votre intimité, vos valeurs, vos choix de vie. Que pouvez-vous faire pour réduire les effets négatifs sur votre couple de la famille ?
Différences culturelles trop grandes
Les différences de cultures, de religion peuvent être une grande richesse pour vous deux et vos enfants. Mais elles peuvent aussi vous empêcher de vous comprendre et vous rapprocher si vous êtes chacun attaché à votre culture et ne faites pas de compromis . Ces différences culturelles peuvent être amplifiées par l’arrivée d’un enfant, son éducation au quotidien, les valeurs que vous lui transmettez.
Des valeurs éducatives différentes
Des façons d’élever un enfant diamétralement opposées conduisent à une tension permanente.
Une addiction trop forte voire une obsession
Vous avez développé une addiction à quelque chose qui nuit à l’équilibre de votre couple. Ce peut -être une addiction physique ou une addiction à une activité. Vous en êtes tellement dépendante que vous avez négligé votre couple. Par exemple, vous vous êtes noyée pendant des années dans le travail.
Il ne vous aime plus
Cette raison est à prendre avec des pincettes. Il est possible qu’il ne ressente plus rien pour vous mais il peut aussi avoir oublié qu’il vous aime. Demandez-vous ce qu’il a aimé chez vous au début de la relation ? Et avez-vous changé entre-temps ? Comment ? Pourquoi ?
Il n’est pas heureux
Pour les raisons précédentes, il peut ne pas être heureux avec vous mais en posant les bonnes actions, vous pouvez améliorer votre niveau de bonheur à deux. Il est possible qu’il ait d’autres raisons de se sentir mal dans sa peau : des problèmes au travail peuvent le miner. Il est possible aussi qu’il soit en dépression auquel cas, il lui appartient de vouloir en sortir.
Vous n’êtes pas heureuse avec lui
Il le ressent au point d’en ressentir aussi un grand mal-être. Un homme a besoin de sentir qu’il rend sa femme heureuse. Qu’elle est épanouie. Est-ce le cas ? Que pouvez-vous changer à votre vie pour être plus épanouie et redevenir une femme indépendante, rayonnante ?
Vous remarquerez que certaines causes peuvent être liées. Par exemple une mauvaise communication peut être le résultat d’une vengeance suite à une infidélité.
Vous retrouvez-vous dans l’une ou plusieurs de ces raisons ? Si oui, c’est un bon point car vous savez sur quoi vous pouvez travailler pour améliorer votre relation actuelle.
Mon expérience en conseil sentimental depuis 2014 m’a permis de constater que les causes de divorce les plus fréquentes sont liées à la routine et la dépendance affective. L’infidélité, qui peut-être une conséquence de la routine ou liée à la dépendance affective d’un partenaire, provoque beaucoup de séparations.
Les actions prioritaires pour sauver son couple
Pour résumer ce qui a été précédemment expliqué, voici mes conseils :
– Ne vous laissez pas submerger par vos émotions négatives, ne vous défoulez pas sur votre mari mais exprimez-les ailleurs, dans un autre cadre que celui de votre couple. Ne faites pas d’actions que vous regretteriez, ne posez pas d’ultimatum, de chantage (encore moins du chantage au suicide), ne faites pas de menaces.
–Prenez du recul, faites le bilan de votre passé amoureux pour comprendre pourquoi vous en êtes arrivé là. Si vous pouvez passer quelques jours en dehors du domicile conjugal, c’est l’idéal pour prendre ce temps de réflexion.
– Une fois que vous avez compris pourquoi vous en être arrivée à cette situation de demande de divorce, demandez-vous ce que vous pouvez faire pour changer la donne ? Un couple se construit à deux et se déconstruit à deux dans la majorité des cas. Une fois que vous avez compris le véritable problème, il vous appartient d’y trouver des solutions. Vous avez le pouvoir de retrouver le bonheur.
Sauver son couple demande un travail d’introspection, seule ce n’est pas facile. Le regard extérieur et sans jugement d’un coach vous aidera à faire les meilleurs choix par rapport à l’avenir de votre couple.
N’hésitez pas à réserver une séance de coaching avec moi pour faire le diagnostic de votre couple et mettre en place un plan d’actions pour retrouver votre confiance en vous et retrouver le bonheur.
Faire Le Ménage De Sa Garde
Vous en avez assez de recevoir une cascade d’objets en plein visage chaque fois que vous ouvrez la porte de votre garde-robe de plein air? Pire, vous n’avez pas encore déterminé d’endroit précis pour votre matériel de camping, et c’est une expédition à tâtons chaque fois que vous avez besoin de mettre la main sur ce chargeur ou ce chapeau, juste là, derrière, sur la tablette du haut?
L’heure du tri a sonné!
Première étape : déterminer un endroit frais et sec pour entreposer votre matériel
Frais et sec? Oui! Qu’il s’agisse de votre tente ou de votre caméra de plongée haute technologie, l’humidité ou une exposition prolongée à la chaleur (soleil, chauffe-eau, plinthe électrique) risquent de raccourcir la durée de vie de votre équipement et de le fragiliser, voire carrément de l’endommager. Alors, si ce n’est pas déjà fait, dénichez un coin approprié dans votre maison – vaste garde-robe, tiroirs ou tablettes – et dédiez-le à votre précieux matériel de plein air.
Deuxième étape : évaluer les dégâts et rectifier le tir
Si, en revenant de votre dernière sortie en plein air (il y a de cela plusieurs mois), vous avez balancé votre matériel tel quel sans plus y penser, il se peut que celui-ci ait quelque peu souffert.
Un sac de couchage ou un matelas de sol entreposé dans son sac de compression, par exemple, a de fortes chances d’avoir perdu un peu de son pouvoir d’isolation. Lavez les taches et les saletés à la main, envoyez votre matériel à la sécheuse à basse température pour que le duvet naturel ou synthétique reprenne sa forme, et suspendez le tout à plat sur des cintres ou dans un tiroir profond afin que les matériaux respirent.
Même principe pour votre tente et votre sac de randonnée. Inspectez-les attentivement pour trouver taches, trous et déchirures, et réparez-les au moyen d’une trousse appropriée avant de les entreposer. Il est préférable de ne pas plier la tente. Les lignes de pli répétées fragilisent la toile. Même si cela peut paraître étrange, la meilleure méthode d’entreposage consiste à mettre les piquets de côté et à pousser la toile pêle-mêle dans son sac de transport. Assurez-vous toutefois que celle-ci soit parfaitement sèche avant de procéder.
Poursuivez votre opération ménage en vous attaquant à vos souliers et à vos bottes d’expédition. Lavez-les en profondeur, changez les lacets et les semelles, appliquez une couche de crème rénovatrice sur les parties en cuir et un imperméabilisant sur les parties de type Gore-Tex.
Et si, malgré vos efforts, votre matériel reste trop endommagé pour remplir ses fonctions, il est préférable de s’en débarrasser ou d’essayer de le recycler. Persister à utiliser de l’équipement en mauvais état peut non seulement vous causer des ennuis, mais également, dans certains cas, mettre en jeu votre sécurité.
Troisième étape : définir vos besoins
Ça y est! Vous avez fait l’inventaire de ce que vous possédez en termes d’équipement de plein air, de camping et d’aventure? Alors c’est le temps de dresser une liste!
Quels sont vos envies, vos rêves, vos projets pour la prochaine année? Découvrir l’escalade? Les sports nautiques? Profiter des rabais de fin de saison pour vous équiper pour le ski de fond? La raquette de montagne? Énumérez vos intentions et notez ce qui vous manque pour chacune des activités. Puis, fixez vos priorités. Suggérez à vos proches les cadeaux qui vous feraient plaisir pour votre anniversaire, et visitez les boutiques pour vous offrir sans attendre les autres articles que vous convoitez.
Les essentiels à conserver
Si vous constatez que l’une ou l’autre de ces choses pourraient vous manquer, n’attendez pas pour la remplacer, sans quoi vous pourriez vous retrouver bien désemparé au moment de partir en nature.
Équipement de cuisson Manteaux pour homme Manteaux et pantalons d’extérieur pour enfant Manteaux pour femme Hydratation Éclairage
L’art d’optimiser le rangement
Optimiser son rangement, c’est facile. Il suffit d’utiliser quelques astuces. Voici des exemples.
Une fois que vous avez tout vidé et regroupé, rangez d’abord les éléments les plus gros et les plus encombrants, comme votre sac à dos et le sac contenant votre tente. Remisez-les dans un endroit où ils seront facilement accessibles, en évitant de les empiler. Installez plutôt tablettes, crochets et rails au besoin.
Bon rangement!
Suspendez ensuite à des cintres les manteaux, pantalons d’extérieur, sacs de couchage et matelas, puis alignez les bottes et souliers sur un support si vous souhaitez qu’ils restent bien en place.
Enfin, répartissez les petits objets dans des boîtes ou des tiroirs de différentes grandeurs, selon l’utilité, la forme ou la fonction. Par exemple, regroupez ici les objets électroniques, et là, les livres, cartes et atlas. Ici, le matériel de camping, de survie et d’orientation; là, le matériel de jogging. Une boîte servira au matériel d’été, une autre, à celui d’hiver, etc.
Et pourquoi ne pas coller sur la porte de la garde-robe ou sur les caisses de rangement des photos-souvenirs de vos dernières expéditions, question de vous inspirer et de maintenir la motivation? ☺
Comment Savoir Si Mon Chat Est Malade ? 10 Symptômes À Surveiller
Certains signes plus ou moins évidents peuvent montrer que votre chat est malade : changement de comportement, baisse de forme ou d’appétit… Encore faut-il savoir de quelle manière les détecter et quels sont les points à observer dans l’attitude et sur le corps de votre matou. Nous avons donc réuni dix symptômes courants pouvant révéler une maladie chez le chat et à surveiller au moindre doute.
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L’état de santé général de votre chat
Si votre chat vous semble moins actif ou plus distant qu’à son habitude, il faut d’abord être attentif à son état de santé général et à son apparence physique : se déplace-t-il normalement ? Dort-il plus ? Montre-t-il des signes d’apathie et de fatigue ? Le sommeil est un indicateur important, ainsi tout changement de rythme doit vous alerter même si le chat est un animal qui dort beaucoup par nature. Dans ses périodes d’éveil, portez attention à son attitude : a-t-il la tête basse ? Joue-t-il et mange-t-il comme avant ? Vient-il vers vous ? Ce critère est important car un animal malade préfère s’isoler.
La baisse de poids et d’appétit
Ces deux symptômes vont généralement de pair, mais pas toujours ! En effet, certaines pathologies peuvent faire maigrir le chat même s’il ne mange pas moins que d’habitude. En cas de doute, le comportement alimentaire de votre chat est à surveiller de près ainsi que sa consommation d’eau. Un refus de s’alimenter, le chipotage ou tout changement d’habitude alimentaire doivent vous amener à consulter le vétérinaire. Une envie de boire excessive devrait également vous alarmer, de même qu’une déshydratation. Vous pouvez vérifier en tirant doucement sur la peau du cou de votre chat et en la relâchant : si elle ne revient pas rapidement en place, cela veut dire qu’il est déshydraté. Enfin, pour contrôler le poids de votre animal, pesez-le régulièrement entre les visites vétérinaires.
Détecter la fièvre chez le chat
La méthode la plus fiable pour connaître la température de votre chat est de prendre sa température rectale à l’aide d’un thermomètre : elle doit être comprise entre 38° et 39° C. Si elle est supérieure à 39° C, cela signifie qu’il a de la fièvre. Faites-vous assister car il ne se laissera sûrement pas faire ! Pour éviter qu’il ne griffe et morde, enveloppez-le dans une serviette et tenez-lui la tête. Attention, si sa température est inférieure à 38° C, votre chat est en hypothermie ce qui est très mauvais signe.
Vérifier le pelage de votre chat
L’aspect du pelage est un facteur important pour juger de la bonne santé de votre chat. Un poil sale, collé, gras, terne ou pelé peut être signe de maladie. Inspectez minutieusement sa fourrure à la recherche de croûtes ou de parasites (puces, tiques). D’autres symptômes dermatologiques comme la chute de poils, les rougeurs, les irritations, les démangeaisons peuvent témoigner de la présence de parasites invisibles comme la gale ou la teigne. Si vous remarquez une excroissance ou une boule sous la peau, consultez le vétérinaire pour vérifier qu’il ne s’agit pas de tumeurs ou d’abcès.
Regarder les yeux de votre chat
La couleur des muqueuses et l’apparition de la troisième paupière sont des indicateurs cruciaux de maladie chez le chat. Ses yeux ne devraient pas couler ni avoir un aspect humide ou vitreux, ni présenter de croûtes ou saletés à leur commissure. Des muqueuses gonflées, jaunes, grisâtres ou maculées de points rouges doivent vous alerter, pouvant révéler une pathologie ou une intoxication.
Ausculter la bouche de votre chat
Comme la couleur des muqueuses, une couleur anormale des gencives est le signe d’une maladie potentiellement grave. Soulevez les babines de votre chat et observez les dents et les gencives à la recherche d’abcès ou de poches de sang. Cela peut expliquer des difficultés à manger, voire un refus total de s’alimenter dû à la douleur causée par une affection de la bouche et des dents. La langue peut aussi présenter de petits boutons, des abcès, un aspect gonflé ou une couleur inhabituelle. Une mauvaise haleine peut, quant à elle, être le témoin de troubles dentaires mais également digestifs.
Les changements de comportement du chat
En plus de surveiller l’aspect physique de votre chat, soyez attentif à son comportement et observez ses changements d’habitudes et d’humeur. Une agressivité soudaine, une irritabilité, une agitation, un comportement distant peuvent montrer qu’il souffre. S’il est stressé, griffe quand vous le touchez ou ne se laisse plus approcher, c’est que quelque chose ne va pas. Des miaulements inhabituels ou au contraire un mutisme chez un chat normalement “bavard” sont aussi parfois des indicateurs.
Surveiller l’état des selles et de l’urine du chat
Les symptômes digestifs sont particulièrement importants pour savoir si votre chat est malade : diarrhée, changement d’habitude avec la litière, miction abondante ou difficile, besoins faits dans la maison… Si vous avez un doute sur sa santé, ayez le réflexe de vérifier ses selles : si elles sont plus petites, plus dures, plus molles que d’ordinaire ou présentent des traces de sang, consultez le vétérinaire. Il est possible qu’il soit infesté par des vers ou souffre d’une inflammation de l’intestin.
Les vomissements chez le chat
Il est normal qu’un chat régurgite de temps en temps en raison des poils qu’il avale en faisant sa toilette. Cependant, des vomissements répétés et douloureux sont signe de maladie, d’indigestion, d’intoxication alimentaire ou d’empoisonnement. Il faut alors consulter rapidement pour écarter ces possibilités, car l’ingestion de produits ou d’aliments toxiques nécessite une intervention immédiate.
Les symptômes respiratoires du chat
Les affections des voies respiratoires comme le coryza entraînent des difficultés à respirer se traduisant par un rythme rapide et saccadé, de la toux et des éternuements. La respiration peut alors s’accompagner de sifflements et de ronflements. L’œdème pulmonaire, l’asthme, la pneumonie, la laryngite et de nombreuses autres pathologies respiratoires peuvent affecter le chat. Une consultation immédiate est donc préconisée car elles peuvent entraîner de graves complications.
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